Après une formation au Studio d’Asnières à Paris, Margaux Le Mignan intègre l’ENSATT en 2012 où elle joue notamment sous la direction d’Alain Françon, Daniel Larrieu et Anne Laure Liégeois. Après sa sortie en 2015, elle travaille avec Bruno Meyssat dans le cadre d’une recherche-création entre la France et le Japon (Quelles vies quotidiennes après Fukushima ?), et avec Grégor Daronian-Kirchner (On n’est pas ça pour là), Christian Schiaretti (Ubu roi (ou presque…)), Zoé Lemonnier (La Voix humaine), ainsi qu’avec Philippe Delaigue dans L’Histoire mondiale de ton âme d’Enzo Cormann, au POCHE /GVE en 2019.
En 2022, elle est comédienne/assistante de recherche et d’enseignement à la Manufacture – Lausanne. Elle y travaille avec les élèves de Master en Mise en scène et de Bachelor en Théâtre, et collabore avec Julie-Kazuko Rahir et Christian Geffroy-Schlittler dans le cadre de leur projet de recherche-création Rendre sensible. En 2023, elle est collaboratrice artistique sur L’amour fou (du théâtre), mis en scène par Nicolas Zlatoff à la Comédie de Genève. Elle joue aussi dans Sauve qui peut (la mouette) mis en scène par Nicolas Zlatoff dans le cadre du festival Dix dans un pré. Elle poursuit également sa collaboration avec Maryse Estier, qu’elle retrouve dans Marie Stuart de Friedrich von Schiller (Théâtre Montansier, Versailles ; La Manufacture, CDN Nancy).
En 2024, elle joue dans Illusions d’Ivan Viripaev, une co-mise en scène de Martin Jaspar et Dylan Ferreux (Casino-Théâtre de Rolle), ainsi que dans une mise en scène de Jean-Yves Ruf et du chef d’orchestre Léonardo García Alarcón, Amour à Mort (La Cité Bleue, Genève).